LE CABINET
M. Paul Van Rompaey commença sa carrière au barreau de Turnhout en 1992 où il fit un stage au cabinet d’avocats Schuermans en Schuermans. Il s’y consacra notamment à l’assistance aux établissements bancaires dans les dossiers de recouvrement et de faillite.
Dès 1996, il fonda son propre cabinet à Westerlo et, quatre semaines plus tard, il fut nommé curateur de faillite au tribunal de commerce de l’époque, à Turnhout. Au cours des 25 dernières années, il a ainsi pu traiter des centaines de dossiers de faillite, allant de la petite épicerie aux multinationales.
M. Van Rompaey ne met pas seulement son expertise au service du tribunal. Outre ses activités de curateur, il fournit aussi des services aux créanciers et aux faillis.
En 2002, le cabinet déménagea vers son site actuel, à Westerlo, Zandberg 19.
Avec l’expansion du cabinet, M. Paul Van Rompaey opta en 2003 pour la forme juridique de la sprl et c’est ainsi que la sprl Advocatenkantoor Paul Van Rompaey vit le jour.
Il conclut à l’époque un accord de collaboration avec le cabinet néerlandais OJW advocaten de Goirle (Tilburg), aujourd’hui West Point Advocaten.
À l’occasion de l’ouverture d’un deuxième siège en 2016 dans le Nieuw Zuid, à Anvers, le cabinet changea de nom pour devenir « Ledeganck advocatenkantoor ». Ce changement de nom fait non seulement référence à la nouvelle implantation le long des quais de l’Escaut, mais aussi à Karel Lodewijk Ledeganck.
Issu d’un milieu ouvrier modeste, Karel Lodewijk Ledeganck réussit pourtant, dans ces conditions particulièrement difficiles, à se hisser hors de sa condition, essentiellement en autodidacte. D’abord ouvrier dans une usine de tissage de lin, il fut ensuite engagé en tant que commis à l’administration communale de Gand. Disposant dès lors d’un peu plus de temps libre, il entama des études à l’université de Gand. En 1835, il obtint son diplôme de droit. Il devint juge de paix, inspecteur de l’enseignement, membre du conseil provincial, professeur et poète. On lui doit la première traduction en néerlandais du Code civil. Bref, un modèle de persévérance, choisi à juste titre comme porte-étendard du cabinet.
Le cabinet doit son logo à Lionel Smit, un peintre sud-africain de renommée internationale, qui a autorisé l’utilisation d’un fragment d’un de ses chefs-d’œuvre.